► Informations

• Nom : Hisagi • Prénom : Akira • Âge : ≈ 20 - 25 ans • Ville : Aserio • Poke Ball : Copain Ball • Shiny : Peut-être • Starter : Miaouss • Sexe : Femelle • Surnom : Kirari ---------- • Âge : 18 ans • Comment : Graphiste

Présentation & Codage © N3m0

► Descriptions

Caractères ◄
« Apprend-moi. »

À son réveil, il était complètement perdu et bien avant son réveil, dans les ténèbres de ses rêves, il était infiniment triste … Une douleur insensée au cœur dont il n’arrivait pas à se débarrasser le martyrisait à longueur de temps. Il avait mal, terriblement mal et même une fois consciente, il continuait à avoir mal au fond de lui. Il semblait être froid et distant, il parlait peu, ne riait jamais, son expression était littéralement figé, il semblait mystérieux … Il ne sait pas qui il est, il tente de se forger son propre caractère, mais pour le moment, il se sent seul, terriblement seul. Il se pose sans cesse bon nombre de questions, des questions qui reste sans réponse … Il ne croit en rien, il ne croit en personne, il ne préfère pas s’attacher, ou du moins, elle est la seule à qui il veut être attaché … Elle est comme lui après tout.

Malgré tant de douleur, il existe en lui de la tendresse, de la tendresse ou elle seule peut en profiter. Il ne connait que peu de sentiment, ce qui fait que son caractère n’est pas vraiment stable ou plutôt, on dirait qu’il est inexistant … Il ressemble à un fantôme. Un fantôme n’ayant aucun but hormis celui d’errer. Il est intelligent malgré tout et ne fait rien sans réfléchir, il fait toujours attention à la moindre petite chose, mais se fiche également d’énormément de chose … Il est étrange d’après certaine personne, certain le prenne en pitié, chose qu’il déteste plus que tout. Il n’est pas du jour à se disputer avec autrui et préfère laisser la personne d’en face avoir raison afin d’avoir de nouveau la paix et éviter toute bataille inutile.

Il reste indifférent à bon nombre de chose afin d’éviter d’être affecté, tout comme il reste bien souvent en retrait, pourtant, quelque chose lui disait sans cesse d’aller de l’avant en allait vers les autres et participer plus aux activités qui pourraient se présenter à lui. Peut-être que ça lui permettrait de retrouver ses souvenirs oubliés … Il ne sait pas comment réagir face aux situations sentimentales, il préférait rester là, à observer la situation sans dire le moindre mot et à quoi bon … Lorsqu’on ne connait que peu de sentiment, il nous est difficile d’aider les autres. Il semble complexe, mais n’est qu’un jeune agneau perdu dans un monde qui lui semble inconnu … Il nous est impossible de lui définir un caractère alors qu’il ne connait pas lui-même son propre caractère … Il change juste avec le temps …

Physique ◄
« Regarde-moi. »

De ce qu’on en dit, il serait un bel homme, plein de charme et rempli de classe. Bien sûr, il ne s’en rend pas compte … Personne ne lui dit en face, personne n’ose lui faire le moindre petit compliment, probablement fait-il trop peur aux autres par ses expressions figés et son regard immensément triste et solitaire. Pourtant, cela ne lui ferait pas de mal que quelqu’un vienne vers lui, se souci de lui, lui fasse un petit compliment, lui fasse comprendre qu’il est homme séduisant et que bon nombre de regard se pose sur lui lorsqu’il marche. Tout cela semble si irréel, jamais il n’arriverait à penser que de telle parole puisse être vraie. Il n’était qu’un homme parmi tant d’autre et tant d’autres étaient bien mieux que lui. De toute manière, il ne comprendra jamais pourquoi tous ne s’intéresse à l’aspect physique …

Il possède une taille plutôt imposante, un mètre quatre vingt dix. Il n’est pas bien gros, il est dans la moyenne, probablement. Devant probablement se trouver dans les soixante dix-neuf kilo, voir un peu plus. Se trouvant dans la vingtaine, il n’a pas le moindre problème de santé et son corps c’est parfaitement développé. Quelques muscles se trouvant ici et là. Cheveux long, d’une étrange couleur verte, lui descendant pratiquement en bas du dos. Coupé en dégradé court jusqu’aux épaules et de moins en moins en descendant. Bien souvent le matin, ou à n’importe quelle heure après avoir dormit, ils se retrouvent coiffé en bataille, partant dans tous les sens comme une crinière. Des yeux étrangement vides d’une couleur verte, passant parfois par la couleur cyan. Le regard profond où la tristesse et la solitude règne en maître malgré que ses expressions commence à se faire un peu plus différente depuis sa rencontre avec Kirari. Passant par un regard remplit de tendresse à la douleur. Un visage fin, une peau à peine blanche, une expression parfois très figé, vivant grâce à quelques sourires qui se font parfois rare.

Des tenus bien simples. Pantalon, autant noir que blanc et autant gris que beige, ou alors des jeans. Des t-shirt noir et blanc également, à manche courte comme longue et par-dessus, une chemise blanche à manche courte. Des chausses normales, ou plutôt, des basket, de quoi tenir la route pour son long voyage. Sur sa tête, une casquette noire avec juste le devant blanc. Il ne la quitte que rarement, elle semble lui être importante et lié à son passé …

► Histoire

« Où suis-je ? »

L’obscurité était présente. La solitude, la tristesse et la noirceur étaient présente. Quel était cet endroit ? Que se passait-il ici ? Pour y avait-il tant de sentiments douloureux dans cet endroit ? Pourquoi, pourquoi tout est aussi sombre ? Pourquoi sentait-il quelque chose lui déchirer le cœur, pourquoi aucune larme n’atteignait ses yeux alors qu’il se sentait si triste …

Des images, d’étranges images commencèrent à apparaître, qu’était-ce ? Quel était cet enfant, assit tout seul dans un coin, ses genoux contre son torse et ses bras les entourant, le visage enfouit … Il n’entendait rien, pourtant, il savait que cet enfant pleurait, comment savait-il cela alors qu’aucun son ne parvenait à ses oreilles et qu’il ne voyait pas le visage du gamin ? Il le voyait … Son corps tremblait, ses mains ressaieraient l’emprise sur le pantalon qui recouvraient ses frêles jambes. Pourquoi, pourquoi pleurait-il ? Qu’est-ce qui chagrinait cet enfant ? Assistant à cette scène, impuissant, il ne comprenait pas, il avait l’impression d’avoir déjà vu cette scène, un jour, il y a longtemps, probablement … Il se sentait proche de cet enfant dont il ne pouvait voir le visage, pourquoi ? Il voulait s’approchait, ses jambes se mirent à trembler, il n’osait pas … Quelque chose l’en empêchait, peut-être la peur, mais quelle peur ? Il n’y avait pourtant aucune raison d’avoir peur … Il réussit à se calmer et approcha lentement de l’enfant. Une fois non loin de lui, il allait pour lui toucher l’épaule. L’enfant sentit son approche, il releva doucement la tête et voulu tourner son visage vers l’inconnu, mais, ce dernier ne pu voir son visage entièrement. Une casquette cachait ses yeux. Une terreur prit possession de lui, il voulu fuir l’enfant, mais tout autour de lui se mit à trembler avant que tout s’écroule. Le gamin continuait de le regarder, le regardait tomber dans les ténèbres …

« Qui suis-je ? »

Ouvrant les yeux d’un seul coup en sursautant. Yeux écarquillés, pupille dilaté, il regarda partout autour de lui. Laissant son regard balayer le plafond blanc qui se trouvait au-dessus de lui. Où se trouvait-il ? Il tourna légèrement la tête afin de regarder plus en détail la pièce où il se trouvait. Il se serait bien redresser pour mieux observer, mais, c’était comme si les membres de son corps ne lui répondait plus. Après avoir analysé l’une des parties de cette pièce aux murs et au plafond blanc, il conclu qu’il se trouvait à l’hôpital. Pourquoi et comment ? Il n’en savait rien, il ne se souvenait de rien, seulement dans l’obscurité où il était plongé avant de s’être réveillé dans cet endroit …

Une voix résonna alors, quelqu’un était là, il tourna alors la tête de l’autre côté et vit une jeune femme, une infirmière apparemment. Elle lui parlait, sur le coup, il ne comprenait rien, sa tête était bien trop embrouillée … Il ferma alors de nouveau les yeux et sombra dans un sommeil réparateur. Il semblerait pourtant qu’il avait dormis depuis longtemps, mais, il était exténué … L’infirmière le laissa seul.

Il se réveilla quelques heures plus tard. Une infirmière était présente, pas la même que tout à l’heure … Il l’observa un moment, toujours un peu dans le brouillard, mais moins qu’à son premier réveil. Elle s’approcha alors de lui et lui demanda s’il allait bien. Sur le coup, il ne savait pas quoi répondre, il baissa les yeux et réfléchit … Hochant légèrement la tête, la jeune femme sourit et le laissa un moment seul. Posant ses yeux sur la fenêtre, légèrement entrouverte pour laisser une petite brise d’air se faufiler dans la chambre, apportant un étrange sentiment de bien être. La porte s’ouvrit alors de nouveau et il lança un regard dans ma direction de l’entrée de la chambre. L’infirmière était déjà de retour, accompagné d’un homme, probablement le médecin …

Les minutes qui suivirent n’était consacré qu’aux questions. Savoir comment il se sentait, s’il arrivait à bouger tel ou tel membre, ainsi de suite. Une fois un rapide diagnostique terminé, il passa aux questions plus « intime ». Lui demandant tout d’abord son nom et son prénom. Il fixait le médecin, sans lui donner la moindre petite réponse. Il ne savait pas … L’âge, il n’en avait pas la moindre idée aussi, ses origines, pas de souvenir. De la famille, peut-être … Il n’avait rien, rien du tout en souvenir, mais, qui était-il ? Le médecin soupira et frotta sa nuque en réfléchissant. Il expliqua alors la situation au jeune amnésique et lui apprit également sa venue ici.

Il fut trouvé il y a une dizaine de mois de ça près de l’hôpital, mi-conscient. Les infirmières l’avaient immédiatement amené dans une chambre avant qu’il ne tombe dans le coma une semaine après son arrivé. Pendant tout ce temps, l’hôpital avait tenté de trouver l’identité de cet homme sans jamais rien trouver, étrange, très étrange … Ils ne savaient plus quoi faire pour trouver des réponses à leurs questions et avaient abandonné l’idée de connaître son identité, après tout, allait-il se réveiller de nouveau un jour ? Ils n’en savaient rien … Ainsi, l’homme qu’ils avaient trouvés s’était enfin réveillé, mais semblait amnésique.

« Appelez-moi Akira ... »

Deux semaines passèrent, il était toujours dans un état d’amnésie et pas le moindre petit souvenir ne lui venait en tête. Les infirmières et médecins ne savaient plus quoi faire pour l’aider, ils lui laissèrent le temps de s’en remettre, que ça soit physiquement ou moralement. Peu à peu, il commença à quitter sa chambre pour vagabonder dans les couloirs de l’hôpital. Il ressemblait presque à un fantôme … Son teint était pâle, son visage était voilé par la solitude, ses mouvements étaient lent …. Il n’avait pas de bute précis, il ne savait plus quoi faire, combien de temps resterait-il ainsi ? Combien de temps resterait-il ici ? Il voulait sortir, mais pour aller où ? Il ne connaissait rien … Autant, il connaissait le nom des objets qui l’entourent, autant, il ne connaissait ni le nom de la ville où il se trouvait, ni de la région. C’était comme s’il avait été déposé là par hasard avec pour seul connaissance, tout ce qui est visuel et matériel.

À la fin du mois, le médecin qui s’occupait depuis le début de lui vint le voir avec divers formulaire. Il venait lui offrir une nouvelle vie. Le laissant choisir nom et prénom, son âge … Tous pensèrent qu’il avait dans la vingtaine d’année. Entre vingt et vingt-cinq ans pour être plus précis. Il lui laissa la nuit entière pour réfléchir à son futur nom et son futur prénom. La nuit porte conseil à ce qu’il parait, mais, pas les nuits du jeune amnésique … À chaque fois, il retombait dans les ténèbres où il se trouvait avant de retourner à lui. Le petit garçon était toujours là, il ne montrait pas son visage et sanglotait moins. Il réussit à lui parler, ils parlèrent de chose inutile. « Qui es-tu ? » ; « Que fais-tu ici ? » ; « Comment te nommes-tu ? » Demandait sans arrêt l’enfant, mais lui, il n’avait jamais aucune réponse à lui donner et ils restèrent là, fixant l’obscurité dans un silence presque interdit. Ce soir là, c’est lui qui lui posa les questions. La seule réel réponse qu’il réussit à avoir, c’était un prénom … Akira … Hisagi Akira. Ainsi, il emprunterait ce nom, il emprunterait le nom de cet enfant qui semblait tout aussi perdu que lui et le fera vivre à travers ce nom.

Le matin était présent, le médecin arriva dans la chambre et fut surpris de le voir déjà réveillé. Il était redressé sur son lit à observer la fenêtre. Le temps était étrange, comme à chaque fois. Sur ses genoux, les formulaires … Le médecin s’en empara et les étudia. Un sourire se dessina sur le visage de l’homme qui salua le nouveau Hisagi Akira. Dans l’après-midi, Akira quitta l’hôpital, quelques sous en poche, de quoi se payer l’hôtel pour quelques jours le temps de se trouver un travail et pouvoir avoir un appartement. Remerciant le médecin, il parti sans se retourner une seule fois pour regarder ce lieu disparaître …

« Une nouvelle amie, Kirari ... »

Depuis qu’il a quitté l’hôpital, Akira avait réussit à se trouver un petit job en tant que vendeur dans une boutique de CD. Par contre, il ne possédait aucun logement … Il vivait dans un vieux bâtiment délabré qui sera probablement détruit dans quelques mois, pour l’heure, il lui servait de maison … Tous les soirs, après le boulot, il se rendait dans une épicerie s‘acheter de quoi manger avant de rentrer se coucher. Le matin, il se levait, se lavait et préparait avant de ranger correctement ses affaires, puis, retourna travailler. Ses journées se ressemblaient toutes et lui, il était toujours aussi triste. Son visage ne reflétait pas la moindre émotion, seul son regard garda son éternel tristesse qui n’échappait à personne …

Un soir, une tempête faisait rage, vent, pluie et orage étaient au rendez-vous. Le bâtiment délabrer semblait si obscure … Le bruit du vent qui s’infiltrait à travers les fenêtres brisées résonner comme un horrible cri. Le craquement du parquet et le claquement de certaine poutre laissaient croire que quelqu’un était là. Le hurlement du tonnerre n’arrangeait rien dans cette scène cauchemardesque, mais, Akira n’avait pas peur. À quoi bon ? Tous les soirs, il était plongé dans les ténèbres avec en seul compagnie, ce garçon dont il avait emprunté le nom.

Mangeant, enroulé dans sa couverture, un léger bruit de pas attira son attention. Ses sens étaient plus aiguisé depuis qu’il vivait ici, il lui était donc facile d’entendre l’approche de qui que ce soit dans sa modeste maison provisoire. Une silhouette se dessina alors dans l’obscurité qui avait avalé le bâtiment. Akira l’observait sans rien dire. Un miaulement résonna alors. Un félin ? Quelque chose se mit alors à scintiller sur le front de la créature encore camouflé dans le noir. Akira devina alors … Il n’y avait pas beaucoup de créature possédant un miaulement et surtout, une plaque en or … Un Miaouss. Pas besoin de se demandait ce qu’il faisait ici, après tout, les félins n’étaient pas tous fans de la pluie … Il fut enfin visible, il était trempé jusqu’aux os et semblait si maigre … Il ne devait pas avoir de propriétaire, ça c’était sûr. En voyant l’homme, le félin n’osa pas approcher. Il semblait méfiant et c’était normal … Toutefois, la délicieuse odeur de viande grillé que mangeait Akira lui donnait l’eau à la bouche.

Attrapant un briquet, il alluma les brindilles qui se trouvaient dans un gros poêlon. La chaleur commença à réchauffer l’homme, il découpa ensuite quelques morceaux de viande qu’il mit dans une petite assiette et la déposa par terre, la poussant avec le pied, non loin du feu afin que le félin puisse manger sans avoir peur d’être trop près de l’inconnu. Doucement, il s’approcha et en voyant qu’aucun mal ne lui sera fait pendant qu’il mange. Il lui installa un petit nid avec l’une de ses couvertures polaires non loin du feu également et loin de lui, lui versant de l’eau dans un bol et le laissa tranquille, quant à lui, il s’abandonna à un sommeil bien mérité …

Quelques jours passèrent, le Miaouss partait le matin très tôt, quand Akira dormait encore et revenait le soir pour manger en face de lui et dormir. Il ne s’approcha pas de lui … Cela convenait à Akira, mais au moins, il n’était plus seul le soir et ses nuits commençaient à être moins tiraillé par les ténèbres de son rêve continu qui disparaissait peu à peu … Un jour, Kirari, ainsi il l’avait appelé – par les gestes du félin, il avait compris qu’il s’agissait d’une femelle – revint en piteux état … Plusieurs petites blessures se trouvèrent sur son corps, dont une grosse plaie sur sa patte gauche. Le sang avait souillé son pelage. Cette fois-ci, Akira n’avait pas d’autre choix que de l’approcher pour la soigner. Elle était réticente sur le coup, mais, ses blessures la fatiguait et celle à la patte la faisait souffrir, elle le laissa s’approcher …

Il l’attrapa doucement et la dépose sur la couverture qui lui appartenait maintenant. Il vérifia qu’elle n’avait rien de casser et attrapa la petite trousse de secoure qu’il avait. Sortant de quoi désinfecter les plaies et bander sa patte, il attrapa également une bouteille d’eau et une serviette. L’humidifiant, il la passa doucement sur le corps de félin afin de pouvoir mieux repérer les blessures et commença à la soigner. Une fois toutes les petites plaies désinfectées et sa patte bandée, il rangea tout et caressa doucement sa tête. Se redressant, il sortie quelque chose du sac qui contenait ses courses du jour et déposa une belle tranche de Barloche dans la gamelle du félin, puis le lui rapprocha pour qu’elle n’ait aucun effort à faire. Observant l’homme qui s’occupait d’elle depuis ce soir de tempête, son regard était étrangement tendre, d’habitude, ses yeux étaient voilés de solitude et de tristesse, tout comme ceux d’Akira.

S’occupant chaque jour de désinfecter les blessures de Kirari et changeait son bandage, la Miaouss ne sortait plus et à quoi bon … Blessé, elle ne pourrait pas faire grand-chose. Elle profitait alors des bons soins d’Akira et commença peu à peu à s’attacher à l’homme. Chaque soir, elle venait manger à côté de lui, mais retourner dormir dans son coin. Un jour, Akira entra plus tard du travail, elle s’était inquiétée de ne plus voir son protecteur venir, croyant qu’il l’avait abandonné … Lorsqu’elle le sentie approcher, elle se calma et alla se frotter contre sa jambe en ronronnant, chose qu’elle n’avait jamais fait depuis qu’elle partageait ce bâtiment avec lui. Les liens de l’homme et du Miaouss commencèrent à se créer. Ils ne se quittaient désormais plus et il commençait enfin à sourire. Il n’était plus seul, Kirari était désormais là pour lui tenir compagnie …

« Nous ne nous quitterons plus jamais ... »

Deux ans s’étaient écoulés depuis qu’Akira était sortie de son coma et de l’hôpital. Le bâtiment où il vivait aller être détruit, il devait partir, partir, oui, mais pour aller où ? Il n’en savait rien, en tout cas, il en avait assez d’être ici, il avait besoin de partir, voyager, probablement trouvera-t-il des réponses sur son passé ? De plus, il ne partait pas seul, Kirari venait avec lui … Elle ne pouvait plus imaginer sa vie sans lui, tout comme lui ne pouvait imaginer sa vie sans elle. Ainsi, demain, ils partiraient d’Aserio, marchant dans la région sans bute réel hormis celui de trouver des réponses à des questions encore invisible …